Les Gorges du Verdon, 15 et 16 Septembre 2014
Lundi 15 septembre 2014
Départ lundi à 15h30 de Nice ; chargement des vélos : Yann s’y colle …
Michel sera notre chauffeur.
Huit participants : Claude Beck, Alain Druetto, Michel Gontard, Claude Keller, Pierre Noble, Yann Troch, Gérard Simbozel et Alain Winckel.
Arrivée au camping de Castellane vers 18h : installation dans les bungalows, puis apéro chez la sœur de Michel et son mari qui nous accueillent comme des rois (de la petite reine).
Repas au restau du camping : bons plats, super copieux et serveuse très sympathique !
Mardi 16 septembre 2014
Mardi, réveil à 6h15, départ à 8h dans une brume digne du tour des Flandres !
Dès la sortie de Castellane, début des choses sérieuses ; belle grimpée pour rejoindre Trigance, puis nouvelle montée dans le brouillard vers la route des gorges, rive gauche du Verdon.
Bientôt le pont de l’Artuby toujours aussi haut !
Le brouillard se lève et nous découvrons le paysage somptueux des gorges.
Direction le col d’Illoire (964m).
Puis la longue descente vers Aiguines et un arrêt piquenique bien mérité !
La descente continue jusqu’au bord du lac de Sainte Croix.
Après la traversée du Verdon, la remontée vers le col de l’Ollivier (711m).
Puis celle du Col d’Ayen (1052m) et la plongée vers La Palud.
Enfin dernière montée jusqu’au Point Sublime.
Les derniers kilomètres de Pont de soleil à Castellane au bord du Verdon sont moins vertigineux mais tout aussi beaux !
Bilan
Pas de guerre de sécession entre les sudistes et les nordistes même pas une « prise de Beck » !
Cent vingt kilomètres dans un cadre grandiose où nos amis du nord découvrent ce que veut dire « mounta-cala » sous toutes ses formes !
Pas plus de crevaison que de gouttes de pluies !
Bref comme le résume Yann : « Une journée comme ça, c’est pas que plein les jambes ; c’est surtout plein les yeux ! »
Une mention pour le vénérable minibus ménagé comme il se doit par notre chauffeur / gentil organisateur fidèle à l’adage : « Mieux vaut arriver « Gontard » que jamais ! »
Un grand merci à la sœur de Michel et à son mari pour leur chaleureux accueil.
Et une pensée, bien sûr, pour le « Georges du Verdon », Georges Bartoccioni qui aurait dû être là ; lui qui avait si bien mis en place, avec Michel, l’organisation et le parcours de ce beau circuit.
Photos : Pierre Noble et Yann Troch
Texte : Pierre Noble